Financial Transactions and Reports Analysis Centre of Canada

Année 2000Réglementé par le gouvernement

Le Financial Transactions and Reports Analysis Centre of Canada (FINTRAC), fondé en 2000, est le service d'intelligence financière canadien (FIU), duquel le siège se trouve à Ottawa. Le FINTRAC a été établi en vertu de la Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes (PCMLTFA) et fonctionne dans son cadre. Le FINTRAC est principalement responsable de la détection, de la prévention et de la dissuation contre les blanchiments d'argent et les financement terroristes au sein de l'industrie financière au Canada, ainsi que d'autres activités qui menacent l'industrie finanicière au Canada.

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Sanction Bien
Résumé de la divulgation
  • Correspondance de divulgation correspondance de +I3nom
  • Délai de divulgation 2023-12-07
  • Montant de la pénalité $ 1,329,150.00 USD
  • Raison de la punition banque impériale canadienne de commerce ( CIBC ), opérant également sous le nom de banque canadienne impériale de commerce, une banque dont le siège social est à toronto, en ontario, s'est vu imposer une sanction administrative pécuniaire de 1 329 150 $ le 23 octobre 2023 pour avoir commis 2 violations.
Détails de la divulgation

Sanction administrative pécuniaire imposée à la Banque Canadienne Impériale de Commerce

sanction administrative pécuniaire imposée à la Banque impériale canadienne de commerce provenant du : Centre d'analyse des transactions et déclarations financières du Canada (CANAFE) [2023-12-07] Banque impériale canadienne de commerce ( CIBC ), opérant également sous le nom de banque canadienne impériale de commerce, une banque dont le siège social est à toronto, en ontario, s'est vu imposer une sanction administrative pécuniaire de 1 329 150 $ le 23 octobre 2023 pour avoir commis 2 violations. cette sanction a été infligée pour des infractions administratives commises par CIBC en vertu de la loi sur les produits du crime (blanchiment d'argent) et le financement du terrorisme et de ses réglementations associées, et non pour les infractions pénales de blanchiment d'argent ou de financement d'activités terroristes. la sanction administrative pécuniaire a été entièrement payée par CIBC et les débats sont terminés. nature de la violation violation n° 1 défaut d'une personne ou d'une entité de déclarer les transactions financières survenues dans le cadre de ses activités et à l'égard desquelles il existe des motifs raisonnables de soupçonner que les transactions sont liées à la commission ou à la tentative de commission d'une somme d'argent une infraction de blanchiment d'argent ou de financement d'activités terroristes, ce qui est contraire à l'article 7 de la Loi sur les produits de la criminalité (blanchiment d'argent) et le financement du terrorisme. la banque impériale canadienne de commerce a omis de soumettre une déclaration d'opération douteuse lorsqu'il y avait des motifs raisonnables de soupçonner qu'une ou plusieurs opérations étaient liées à une infraction de blanchiment d'argent ou de financement d'activités terroristes. L'examen de la banque par Fintrac en 2021 a identifié un cas où une déclaration d'opération suspecte aurait dû être déposée auprès de Fintrac. ce cas concerne un client de la banque qui avait été arrêté et inculpé d'infractions pénales. la banque était au courant des frais et a examiné les transactions du client. cependant, la banque a déterminé qu'aucune déclaration de soupçon n'était requise car l'activité observée semblait normale et conforme au profil du client, malgré la présence d'indicateurs de ml/tf et d'informations contextuelles obtenues par la banque. violation n° 2 défaut d'une entité financière de déclarer la réception de l'extérieur du Canada d'un transfert électronique de fonds de 10 000 $ ou plus au cours d'une seule transaction, ainsi que les informations prescrites – produits de la criminalité (blanchiment d'argent) et réglementation sur le financement du terrorisme, alinéa 12(1)c) la banque impériale canadienne de commerce a omis de soumettre des déclarations de transfert électronique de fonds entrantes contenant les renseignements prescrits. L'examen de CANAFE en 2021 a identifié 1 003 cas de non-conformité liés aux transferts électroniques de fonds (TEF) non déclarés dans un échantillon de 20 000 virements rapides entrants sur une période étroite, la banque étant la dernière institution financière canadienne à avoir reçu un virement international d'une autre institution financière canadienne. institution et dont le nom et/ou l’adresse était incomplet. Au cours de l'examen, une lacune a été identifiée dans les processus de déclaration des paiements rapides de la banque, ainsi que dans ses tests visant à garantir la conformité aux exigences de déclaration. par conséquent, la banque n’avait pas soumis de déclarations à Fintrac pour respecter ses obligations de déclaration en vertu du paragraphe 12(5) du Règlement sur les produits de la criminalité (blanchiment d’argent) et sur le financement du terrorisme.
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